projet personnel




Floating Houses
The Netherlands has a history of living close to water and of coping with its caprices. That means living on land protected by dykes, on mounds, on shore or floating. Floating homes recently became eligible as a significant solution to Holland’s modern housing needs.
Living on the water has been the picture of Dutch cities ever since; not only because the country is located under sea-level but also due to its long history as a trade nation with Amsterdam as a central marketplace. After Dutch sea trade started declining at the end of the 19th Century, many retired sea barges were converted into permanent residences that moored at the canals and the waterways. This was the beginning of the famous house boat living in the Netherlands that still exists until present days.
And there’s the threat of rising river levels, too. Due to climate change, the rivers that flow into the Netherlands are more full than before. It has been recognised this problem cannot just be solved with dykes. Nowaday’s strategy: Water is no longer seen as danger, but as a chance, as a challenge. A major shift is taking place, away from working against increasing water, and instead trying to work with it. Special planning for floating apartments is one way Dutch authorities are working to adapt to the effects of rising sea levels and increasing rainfall due to climate change. For the Dutch, small differences in water level fluctuation present a problem that is only going to get worse.

In recent years there has been an increase in the number of water-based housing developments that share more characteristics with land-based housing especially in the Amsterdam area. These floating dwellings actually form part of an urban design.
The aesthetically strong design of the Waterbuurt borough responds to a new way of living. The floating homes have an interesting composition that clearly refers to the structure and layout of the Amsterdam canals. Despite the fact that these are new premises, they already fit in the history of Amsterdam.
Floating houses in Steigereiland are attached to moorings which can adjust vertically with the tides and other sea rises. The base of the building is filled with cement and heavy-duty foam. Rings attached to sunken posts make sure the house stays put. This allows the structure to move up and down, depending on water level.

Amsterdam – The Culinary Side

Amsterdam – Les villages-jardins
Les villages-jardins d’Amsterdam représentent un exemple essentiel de la construction de logements sociaux et des influences architecturales de l’École d’Amsterdam.

En 1876, la construction du canal de la mer du Nord permet l’installation d’industries nouvelles à Amsterdam et aux bords d’IJ, l’accroissement rapide des activités de la ville et sa population. Les constructions nécessitées par un tel accroissement fermèrent des quartiers différentes.
Le plan permet l’édification de quartiers massif dont les maisons, assez plus confortables et monotones, ont été construits à des fins essentiellement spéculatives. Aussi la loi du logement (votée en 1901) octroya-t-elle des crédits aux associations coopératives de construction, lorsque l’initative privée était insuffisante. L’énorme développement de la construction de logements sociaux au début des années vingt de 19ième siècle coïncida avec la période de gloire de l’École d’Amsterdam et ses architectes participèrent activement à la réalisation des nouveaux projets. Un grand nombre des ensembles architectureaux furent dessinés par des théoreticiens de l’École. On adopta une idée allant de pair avec la création de nouveaux logements sociaux : l’idée de la cité-jardin, légèrement modifiée toutefois par rapport à ce qu’avait été le modèle anglais de la fin du 19ième siècle.

La cité-jardin, initialement imaginée comme une communauté utopique, fut une sorte de réaction au malaire ressenti à la vue des conditions de vie lamentables des ouvriers des villes anglaises surpeuplées à cause de l’industrialisation.
Ebenezer HOWARD (urbaniste britannique : 1850 – 1928) décrirait aussi la cité-jardins idéale [Tomorrow. A peaceful path to real reform (« Demain : une voie pacifiste vers la réforme réelle »), 1898] : c’est une ville bâti à échelle humaine, remplie de verdure (jardins et parcs) et entourée de lotissements, elle devrait être autonome du point de vue économique, avec sa propre agriculture et ses industries.
Grâce à Arie KEPPLER (directeur du service du logement (woningdienst) d’Amsterdam : 1876 – 1941), qui participait à ce mouvement des cités-jardins, on vit apparaître des villages-jardins dans les années vingt, parmi eux Tuindorp Nieuwendam (1927) et Tuindorp Buiksloterham (1928 / 1929), tous situés au nord d’Amsterdam.
Ces villages-jardins disposés selon un plan assez géométrique, consistent en maisons pour une famille avec d’éléctricité, eau courante et canalisation, sont été construites en matériaux légères. La plupart des bâtiments étaient conçus pour n’avoir qu’un étage. Pour rehausser le charactère d’un village, les architectes contruisaient des passages qui conduisent aux cours et vers les jardins. Sur les places principales de chaque village il y a des magasins concernant le modèle d’HOWARD (spécialement dans le Tuindorp Nieuwendam, arch. B.T. BOEYINGA) Tout ça valu la ville la Mecque de la construction de logements sociaux.
Donc, un voyage en images …

















